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    FREDERIC  MISTRAL       1830 - 1914 

     

     

    Oeuvre qui l'a fait connaitre.

    Mireille

     

     

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                                                                                Frédéric Mistral (ou Fréderi Mistral en provençal) est un écrivain et lexicographe français provençal de langue d'oc, né le 8 septembre 1830 à Maillane (Bouches-du-Rhône), où il est mort le 25 mars 1914 et inhumé. Mistral fut membre fondateur du Félibrige, membre de l'Académie de Marseille, maître ès-jeux de l'Académie des jeux floraux de Toulouse, chevalier de la Légion d'honneur en 1863 et, en 1904, prix Nobel de littérature pour son œuvre Mirèio, encore enseignée de nos jours3. Il s'agit d'un des rares prix Nobel de littérature dans une langue non reconnue officiellement par l'État auquel il appartient administrativement parlant (avec Isaac Bashevis Singer). L’écrivain de « langue d'oc » — appellation alors utilisée au XIXe siècle — est une figure des langues et littératures provençales et bien des hommages lui sont rendus en Provence et dans tous les territoires de langue occitane, ce jusqu'en Catalogne.

      

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    Devise de  Fréderi MISTRAL 

     

       Lien pour en savoir plus  

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     Lou souleu me fai canta 

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      Féministe révolutionnaire

     

     

    Olympe de Gouges  1748 - 1793

     

    Montauban

     

     

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                                                                    Née le 7 mai 1748 à Montauban et baptisée le lendemain en l'église Saint-Jacques de Montauban, Marie Gouze, note 1 a été déclarée fille de Pierre Gouze, bourgeois de Montauban maître boucher — il n’a pas signé au baptême car absent — et d’Anne Olympe Mouisset, fille d'un avocat issu d'une famille de marchands drapiers, mariés en 1737. La famille est très liée aux Lefranc de Pompignan. Le grand-père maternel d'Olympe, Jacques Mouisset, a été le précepteur du marquis Jean-Jacques Lefranc de Pompignan, sa grand-mère maternelle Anne Marty, a été la nourrice de Jean-Georges Lefranc de Pompignan, né un an plus tard, le 22 février 1715, futur évêque du Puy-en-Velay, archevêque de Vienne et député du clergé aux États généraux de 1789 Jean-Jacques Lefranc de Pompignan est le parrain d'Anne Olympe Mouisset, baptisée le 11 février 17149. Anne-Olympe et Jean-Jacques, de cinq ans son aîné, grandirent ensemble et nouèrent des liens affectifs forts, au point que leurs parents furent contraints de mettre de la distance entre eux : ils ne pouvaient y avoir d’alliance entre une famille bourgeoise et une famille de l’aristocratie [réf. nécessaire]. Envoyé à Paris, Lefranc de Pompignan revint toutefois à Montauban en 1747 assumer la fonction de président de la Cour des Aides : il fut peut-être alors l’amant d’Anne-Olympe, qui donna naissance à Marie l’année suivante. Selon le député Jean-Baptiste Poncet-Delpech et d’autres, « tout Montauban » savait que Lefranc de Pompignan était le père adultérin de la future Marie-Olympe de Gouges. Le 24 octobre 1765, à l’âge de dix-sept ans et demi, en l'église Saint-Jean-Baptiste de Villenouvelle (Montauban), Marie Gouze fut mariée à un traiteur parisien de trente ans son aîné, Louis-Yves Aubry, officier de bouche de l'Intendant de la généralité de Montauban et probablement un important client de la boucherie des Gouze. Quelques mois plus tard, la jeune femme donna naissance à un fils, Pierre. Homme grossier et inculte, son mari mourut en 1766, emporté par une crue du Tarn. La loi française interdisant à une femme autrice de publier un ouvrage sans le consentement de son époux, elle ne se remaria jamais, conservant ainsi sa liberté de publication. Elle qualifiait le mariage religieux de « tombeau de la confiance et de l’amour ». Madame Aubry portait couramment les prénoms de « Marie-Olympe » (signant plusieurs textes ainsi) ou plus simplement « d’Olympe », ajoutant une particule à son patronyme officiel « Gouze » que l’on trouve parfois écrit « Gouges », graphie adoptée par certains membres de sa famille dont sa sœur aînée Mme Reynard, née « Jeanne Gouges », épouse d’un médecin. Rien ne la rattachant à Montauban, sinon sa mère qu’elle aida financièrement par la suite note, elle rejoignit sa sœur aînée à Paris. Au début des années 1770, elle vécut à Paris avec son fils à qui elle fit donner une éducation soignée. Pendant ce séjour à la Cour, elle changea de nom : ce ne fut plus Marie Gouze, mais Olympe de Gouges.

     

     

                                            Pour en savoir plus suivre ces liens

     

     

                                             (1)     Biographie Olympe de Gouges     

                               (2 )    Elle défend la cause des femmes 

     

     

    Olympe de Gouges brave la bienséance révolutionnaire en publiant une parodie de l'auguste Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen sous l'intitulé : Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, avec une dédicace à la reine Marie-Antoinette (1) où l'on peut lire : « La femme a le droit de monter à l'échafaud, elle doit avoir également le droit de monter à la tribune »

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